En tant que manager ou décideur, vous êtes conscient de la nécessité de maintenir ou recréer le lien entre vos équipes. Vous ressentez le besoin de rassembler vos collaborateurs pour échanger avec eux, leur présenter la stratégie de l’entreprise, les objectifs à atteindre, les nouveaux produits et prestations à développer ou tout simplement créer du lien à l’occasion de cette fin d’année 2020.
Vous êtes nombreux à avoir participé à des réunions virtuelles en utilisant Teams ou Skype, à des apéros Zoom avec vos collègues ou vos proches. Vous réalisez l’importance de ces petits moments de visio qui permettent de maintenir le lien entre les gens, mais en avez aussi éprouvé les limites. Combien d’entre vous ont eu affaire à cette maudite bande passante, dû faire la police pour mettre un terme à la cacophonie lorsque chacun prend la parole en même temps que l’autre, combien de décrocheurs avez-vous dû ramener dans le groupe parce que trop de blancs à combler, trop de ruptures de rythme au cours de ces entretiens virtuels.
Transformez vos réunions virtuelles en émissions de télé !
Chez AREP, nos expériences mais aussi vos témoignages, nous ont permis de dresser la liste des points forts et faibles de la mise en place d’une visio et vous proposons aujourd’hui une solution fiable et séduisante pour pouvoir communiquer avec vos interlocuteurs, sans avoir à les réunir physiquement. Comme un événement présentiel, un événement virtuel réussi doit être préparé et scénarisé en amont. Il doit être riche en contenu, en échanges et rythmé, pour éviter les temps morts et la perte d’attention. Vous désirez en savoir plus ? Visionnez notre courte vidéo explicative et n’hésitez pas à remplir le formulaire ci-après ou à vous rapprocher de votre interlocuteur commercial qui se fera un plaisir de répondre à toutes vos questions.
Quel est votre parcours professionnel et comment avez-vous découvert votre passion pour votre métier ?
Mon papa était routier et étant petite, quand il y a une portière de voiture ouverte j’étais toujours dedans. J’ai toujours aimé bouger et voyager. C’est pour cela que j’ai fait un BTS de Tourisme. J’exerce mon métier de billettiste depuis 1997 mais ce n’est quand 2018 que j’ai rejoint AREP Exigences.
Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel ?
La mer, les mojitos… En vrai, voyager me manque le plus.
Comment percevez-vous la billetterie de demain ?
Ce n’est pas un monde qui change beaucoup. Internet a remplacé les billettistes. Mais, avec la crise, les gens se sont rendu compte que c’est plus facile et plus efficace de demander de l’aide à une personne au lieu d’une machine. Donc je pense que le monde de la billetterie de demain va re-privilégié le côté humain.
Voilà donc la recette du succès dans le monde de la billetterie selon Stéphanie :
Cette recette a en même temps un goût âpre (beaucoup de travail) et un goût sucré (mojito à l’autre bout du monde) Alors, pour cela il vous faut :
3 morceaux de curiosité, d’aller chercher les informations
500g de rigueur une erreur en billetterie se chiffre en milliers d’euros et pas une centaine
Quel est votre parcours professionnel et comment avez-vous découvert votre passion pour votre métier ?
Lyonnaise d’origine, et je suis venue à Paris pour faire mes études. N’étant pas très assidue en cours…, j’ai choisi un parcours qui me permettait de partager mon temps entre le « cours magistral » et le terrain. J’ai intégré le service communication d’un laboratoire pharmaceutique, ma première expérience dans l’événementiel… une révélation !
Après être passée chez l’annonceur, j’ai souhaité devenir prestataire de services. Rencontrer différents clients, découvrir différentes stratégies, exigences, secteurs d’activité. Apprendre. Et j’ai intégré une agence de tourisme d’affaires en 2002. J’ai monté les différentes marches du « logisticien », pour ensuite me diriger vers la partie commerciale… mais sans jamais être loin de la partie organisationnelle qui me plait tant.
Je suis arrivée chez AREP en 2009, et 11 ans plus tard, j’y suis toujours.
Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel ?
La liste est longue !… D’abord le rythme. Nous vivons à 100 à l’heure en faisant ce métier, sommes sollicités de façon permanente… habitués à nous dépasser. J’ai un peu de mal à m’adapter à un rythme, disons… plus calme. Et puis l’adrénaline. La stimulation, la création, le dépassement de soi pour le bonheur des autres. Et aussi mes collègues, notre équipe, nos fous rires, nos coups de gueules. Pas évident de faire un métier basé sur l’humain et de perdre ce contact physique… Mais je sais que nous allons nous retrouver très vite.
Comment percevez-vous l’évolution de votre métier ?
Après ces quelques mois, je pense que nous allons encore plus nous rendre compte de la vibration particulière engendrée par le présentiel, l’échange, le partage et la spontanéité de la réaction… Néanmoins, force est de constater que l’événementiel s’adaptera…. Et se réinventera toujours. Donc nous nous adaptons et nous réinventons !
Voilà donc la recette du succès dans le monde de la direction de clientèle selon Virginie :
Foncer le moule de merveilleux clients 8 lichettes d’écoute 68g de plaisir à travailler main dans la main 1 botte de réactivité et de rigueur Saupoudrer le tout de quelques brins de folie et de sourires… indispensable !
La crise sanitaire s’éternise et va certainement s’étirer jusque 2021. On parle de janvier, de février, puis de juin et pourquoi pas 2022 ? En fait, on ne sait pas très bien. Mais on parle. On parle beaucoup. Souvent pour ne pas dire grand-chose, il faut bien le reconnaitre. Bien entendu, personne ne souhaite prendre le moindre risque et c’est bien normal. Personne ne souhaite tomber malade et personne ne souhaite rendre malade les autres, les agences d’événementiel et de tourisme d’affaire les premières. Et l’ensemble d’entre elles, AREP compris, ont toutes mis au point des protocoles sanitaires drastiques
en parfaits professionnels de la logistique (et de la sécurité). Seulement, face à une activité réduite, il est inévitable de parler, de donner son opinion… Et « on » a dit beaucoup de choses dans le métier, comme on dit, depuis le début de la crise.
Au commencement, il y eut la réinvention. Tout le monde souhaitait se réinventer et nous avons déjà abordé ce sujet dans notre article sur les événement virtuels. Toutefois, le Robert donne une définition simple de « réinventer » : Inventer de nouveau, redonner une valeur nouvelle à une chose oubliée ou perdue. Si nous prenons cette définition au sens premier du terme, aucune agence n’a vraiment pu réinventer son métier, en pratique, parce qu’il est difficile de se réunir, parce que la confiance n’est pas encore revenue. Néanmoins, de nombreuses idées ont fusé de toute part ces derniers mois : des formats différents, la tentative d’avènement de l’événement en extérieur, la reconquête du « sens » de se rencontrer, une interrogation à propos des événements qui doivent survivre ou ceux qui peuvent se dérouler sur le net. Le véritable gagnant, finalement, c’est internet. Les réseaux sociaux, les événements broadcastés, les « Zoom » et les « Teams », ont pallié depuis le début de la crise au besoin de se parler, de se voir. Mission accomplie : l’événement virtuel qui n’était qu’un gadget, peu utilisé par les agences, s’est vu redonné une valeur nouvelle. Sans la convivialité.
Dans les premiers mois, nous avons été submergés de termes médicaux comme « gestes barrières », « situation sanitaire » ou encore « cluster ». Cluster ? Un mot anglais pour désigner grappe ou groupe, qui, auparavant s’appliquait à l’économie. En réalité, on aurait pu l’appeler foyer de contamination et ça aurait évité des explications à n’en plus finir.
Une autre terme très en vogue pendant un long moment, c’est la « distanciation sociale ». Distanciation n’aurait-elle pas suffit pour définir le fait de rester éloigné d’une autre personne ? Pourquoi sociale ? Y-a-t-il un lien quelconque avec des catégories socio-professionnelles ? Doit-on éloigner les pauvres des riches, les cadres des employés ? Doit-on séparer les femmes des hommes ? Autant en rire. En tous les cas, le terme nous a toujours fait rire.
Autre terme intéressant : la quatorzaine. On connaissait la quinzaine, la quarantaine mais l’épidémie de Covid19 a fait surgir un nouveau concept (enfin pas tout à fait puisqu’il s’agit d’un terme juridique, au départ, qui définit la période des différentes étapes d’une saisie judiciaire. Autant dire, rien à voir). Quatorzaine est la durée d’incubation du virus. Tout simplement, d’après les dernières informations.
Pour finir, évoquons les termes présentiel, distanciel ou hybride, qui ont des connotations particulièrement technocratique, particulièrement déshumanisées, pseudo-techniques pour désigner des formats qui existent déjà depuis de nombreuses années. Bon, en tous les cas, ces termes ont le mérite d’être clairs. De définir les contours des concepts avec justesse. Maintenant une question se pose : à quand les événements « événementiels » ?
Ah oui, j’oubliais « prenez soin de vous » (Et des autres, non ?)
Si vous le voulez bien, parlons un peu d’autre chose que de la crise sanitaire. Un sujet qui occupe l’espace médiatique depuis de long mois et occupe également tous les esprits. Avec quel impact sur les performances des forces de vente ? Avec quel résultat sur le moral des forces vives des entreprises ? Difficile de le savoir, difficile d’estimer le déficit d’engagement au sein des entreprises.
Depuis quelques mois, l’événementiel a disparu des plans de communication. Les événements virtuels ont remplacé, peu à peu, les événements physiques mais il est difficile, avec le digital, d’évaluer le moral des collaborateurs, leur état d’esprit face aux défis commerciaux qui se profilent à l’horizon.
Finalement, seuls les événements présentiels peuvent répondre à ces questions parce que le contact – dans le strict respect des règles sanitaires, bien entendu – permet d’être en prise directe avec les collaborateurs, d’établir un dialogue vrai, de ressentir un état d’esprit dans les groupes.
Pour y parvenir, il existe des solutions événementielles pour fédérer vos équipes, les motiver tout en assurant un niveau de sécurité sanitaire maximal.
Du grand air ? De l’espace ? Des messages positifs ? De l’envie ?
AREP peut répondre à tous ces critères. Nous avons réfléchi à de nouveaux formats, de nouvelles voies pour la communication événementielle… Mais un chat reste un chat et un événement reste un événement, bâti pour répondre à des besoins humains, pour se rassembler, pour parler, partager de bons moments.
Autour des valeurs du sport, au centre national de Rugby, par exemple. Nous y avons rencontré les responsables et discuté longuement de la manière dont nous pourrions envisager des événements authentiques, conviviaux et sécurisés.
Le centre, situé dans un parc arboré immense et doté d’équipements dernière génération, peut accueillir des groupes jusqu’à une centaine de personnes. Restauration et hébergement sont de qualité, nous nous en sommes assurés nous-mêmes, et les protocoles de protection sanitaires répondent aux exigences les plus strictes.
Respirer, s’inspirer des joueurs du XV de France dont l’esprit plane au-dessus de chaque terrain, occupe en filigrane chaque siège des salles de réunion et chambres. Donner également du sens à vos réunions, incarner de manière positive tous les messages que vous souhaitez délivrer, de manière authentique et humaine, à vos collaborateurs. AREP et Marcoussis peuvent vous le permettre.
Mais d’autres solutions sont également possibles : des séminaires en forêt pour revenir à l’essentiel, à savoir le dialogue et la relation, en délaissant un confort trop ostentatoire. Des réunions en montagne pour assainir le corps en même temps que son esprit.
Le temps de l’événement doit faire place à la vérité de la relation, au plaisir de se retrouver et de partager une expérience, plutôt que de se satisfaire d’une débauche de prestations d’un luxe hors de propos dans ces moments délicats.
La confiance doit revenir car elle est le moteur de la réussite pour toutes les entreprises. Faites confiance à AREP pour vous aider à rebâtir des relations vraies entre vous et vos collaborateurs.