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Solutions audiovisuelle pour vos contenus

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Une émission de télévision avec un animateur, des invités et une régie qui respectent à la lettre toutes les normes sanitaires. Des invités du bout du monde qui participent sans prendre de billets d’avion ni de chambres d’hôtel grâce à une technologie qui va chercher les caméras distantes d’ordinateurs ou de smartphones. Des génériques, des synthés, un plateau avec plusieurs caméras  qui épousent parfaitement les codes de la télévision et rompent avec les webinars.

Tout cela est possible grâce à notre partenaire qui a conçu une technologie capable de réaliser tout cela. Une réponse aux exigences sanitaires mais également à des contraintes budgétaires nouvelles.

Une conférence, un séminaire, une convention en distanciel, l’animation d’une web TV, cette technologie est une solution à laquelle vous devriez penser.

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#EventByAREP

Lieux événementiels et gestion de la reprise, épisode 2

Lieux événementiels et gestion de la reprise, épisode 2

 

COUP D’ENVOI A MARCOUSSIS : 3 QUESTIONS A PIERRICK BARDEY 

Comment les lieux d’événements abordent la sortie de la crise sanitaire et quelles sont les réponses qu’ils vont apporter en termes de protocoles de protection ? Nous avons posé quelques questions à Pierrick Bardey, Responsable commercial de la Fédération Française de Rugby, partenaire incontournable d’AREP et des agences d’événements et de voyages depuis de nombreuses années. Nous la remercions d’avoir trouvé quelques minutes pour y répondre. 

A propos de l’activité événementielle et tourisme d’affaire, faites-vous des projections dans un futur proche ? Avez-vous de véritables échéances ?
Pierrick Bardey : Nous étions déjà ouverts depuis quelques jours , pour les formations internes et les stages de l’équipe de France. En ce qui concerne notre activité événementielle, le Centre National à Marcoussis va rouvrir ses portes le 22 juin prochain. Nous sommes ravis d’accueillir les premiers séminaires les 25 et 29 juin. 

Quel sera le format de ces événements ?
Pierrick Bardey :  Ce sont des réunions stratégiques, des codir, qui doivent impérativement avoir lieu avant l’été. Ce sont des clients fidèles, qui viennent au Centre National deux ou trois fois par an pour se mettre au vert. 

 Des journées d’étude, des formats courts qui vont réunir entre 20 et 30 personnes. Nous allons assurer la restauration et la technique pour les réunions mais il n’y aura pas d’hébergement.  

 Avez-vous mis en place des protocoles d’accueil, des processus organisationnels pour assurer la sécurité des groupes que vous allez accueillir ?
Pierrick Bardey :  Nous sommes en cours de finalisation. Pour le moment, notre reprise va se faire en douceur, dans le respect des règles de sécurité décrétées par les pouvoirs publics. Nous n’utiliserons que 50 % de la jauge de nos installations : Nos salles de réunions, le restaurant etc… Les team buildings et activités autour du rugby resteront très restreintes. En ce qui concerne la restauration, nous avons opté pour le service à table uniquement.  

L’avantage de Marcoussis, c’est son emplacement, au milieu d’un magnifique parc arboré. L’idéal pour réunir de petits groupes de travail. 

Avez-vous réfléchi à de nouvelles offres, une nouvelle manière d’appréhender l’événementiel à Marcoussis ?
Pierrick Bardey :  Pas vraiment. Nous avions déjà optimisé nos offres, les formats et activités, de forme et de fonds, que nous pouvions proposer aux agences. En revanche, nous avons beaucoup réfléchi au contexte. Nous savons pertinemment que les budgets événementiels seront réduits. C’est pourquoi nous allons proposer des offres attractives, sur le mode du  sur-classement, pour favoriser la reprise, contribuer à réamorcer la pompe. 

Toute l’équipe AREP

 

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LéCOLE et la crise sanitaire : patience et positive attitude

LéCOLE et la crise sanitaire : patience et positive attitude

Hubert Dupuy est directeur général de L’institut de l’événement, créée en 2008. Sous son impulsion,  LéCOLE – The Event Thinking School, école internationale de la filière événementielle, a vu le jour en septembre 2017 en partenariat avec LÉVÉNEMENT et UNIMEV. LéCOLE est ouverte à des titulaires de BAC+3 et s’inscrit dans la logique de développement de L’Institut de l’Événement qui propose des formations aux métiers de la communication événementielle.  

En tant membre de LÉVÉNEMENT (Ex-Anaé) depuis de nombreuses années, impliqué dans l’avenir de la filière, AREP soutient le projet ?) depuis le début et accueille des élèves à la recherche de stages qualifiants. Hala Tannous, élève de LéCOLE, a intégrée AREP au mois de janvier pour un stage de 6 mois. Logique que ce soit Hala qui interviewe le directeur de son école pour évaluer l’impact de la crise sanitaire sur les programmes d’enseignement et l’avenir de la promotion 2020. 

Hala Tannous : Comment la crise sanitaire vous a affecté, vous et votre école ? ​ 
Hubert Dupuy : Personnellement je me suis retrouvé comme chacun sur terre, confiné et subissant l’atmosphère particulièrement anxiogène de la fin mars.  Je me suis néanmoins très vite habitué au télétravail et nous avons monté de nombreuses sessions de formation continue pour les professionnels de l’événement, le rythme a finalement été assez soutenu. Pour ce qui est des étudiants de LéCOLE - en stage pendant cette période – les conséquences ont été variées et tous n’ont pas pu terminer leurs stages même si ce n’est pas la majorité.  

Hala Tannous : Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel  ? 
Hubert Dupuy : Voir Ingrid tous les matins !!! Et plus généralement le contact réel avec tous nos interlocuteurs. Nous sommes passés de l’atmosphère toujours enrichissante du French Event Booster, au milieu d’un Parc des Expositions de la Porte de Versailles en perpétuelle effervescence, à une situation où l’on ne parlait qu’à un écran. Un peu comme si avions quitté Times Square pour nous retrouver dans une cabane en forêt du côté de Montauban. Les entretiens avec tous nos étudiants pendant les stages, en compagnie de leur tuteurs, n ‘ont pas pu se monter dans leurs entreprises et je l’ai bien regretté. Le télétravail nous permet d’être très efficace dans certaines situations mais nous avons pu mesurer combien les véritables contacts humains sont essentiels, notamment dans notre fonction éducative, dans l’accompagnement de nos étudiants.  

Hala Tannous : Avez-vous déjà une idée de ce que va devenir la promotion de cette année  ? 
Hubert Dupuy : Cela s’annonce délicat pour cette belle promotion qui va arriver sur le marché du travail au mois de juillet. Délicat mais pas injouable. Nous allons les accompagner afin qu’ils puissent se positionner et s’inscrire dans la reprise de l’activité événementielle. Quand celle-ci va repartir – et elle va repartir – les professionnels auront certainement besoin de profils souples, réactifs, opérationnels et motivés. Il y aura un coup à jouer pour nos étudiants et nous allons les préparer à répondre aux nouvelles demandes du marché d’emploi de la filière événementielle. Par rapport à d’autres jeunes arrivant sur le marché de l’emploi, ils pourront bénéficier de l’attention de toutes les entreprises de l’événement qui suivent avec beaucoup d’attention nos sortants. Je rappelle qu’autour de LÉVÉNEMENT et UNIMEV, nous avons plus de 40 entreprises, dont AREP, qui ont investi dans LéCOLE et sont de véritables parties prenantes de notre projet. J’ajoute que nos étudiants pourront profiter de l’excellente image développée par la promo 1 depuis qu’elle a intégré la filière l’année dernière.  

 Hala Tannous : La crise sanitaire a-t-elle affecté les inscriptions pour l’année scolaire suivante  ? ​  
Hubert Dupuy : Oui, nous étions partis sur d’excellentes bases, avec des candidatures particulièrement intéressantes, venant notamment de l’étranger. Et puis il y a eu le confinement. Entre le 16 mars et la fin avril, plus rien, plus de contact ou de demande d’information. Je pense que l’état de sidération collectif que nous avons traversé empêchait les jeunes de se projeter au mois de septembre. Toutes les écoles supérieures sont en retard sur leurs dispositifs de recrutement. Nous n’avons pas échappé à la règle mais depuis quelques jours, la machine est repartie et nous sommes très optimistes. Nous aurons une très belle 4ème promotion de LéCOLE.  

Hala Tannous : En tant qu’école nomade, de quelle manière envisagez-vous la reprise des cours en  septembre 2020 ?   
Hubert Dupuy : Les écoles supérieures sont actuellement toutes fermées et se concentrent sur septembre. Les sites événementiels sont également pour la plupart en attente de réouverture, au plus tard là aussi en septembre, c’est à dire au moment de reprendre notre principe d’école nomade. Des process de visites seront mis en place mais nous allons nous adapter, il est essentiel que ce formidable levier pédagogique de LéCOLE perdure et je sais que les gestionnaires de sites nous ouvriront leurs portes comme ils l’ont toujours fait. Nous avons démarré le travail de planning et l’accueil qui nous est réservé est toujours aussi enthousiaste. Nous allons même découvrir de nouveaux sites, il y aura de très belles nouvelles étapes.  

Hala Tannous : Le programme de LéCOLE va-t-il changer ? 
Hubert Dupuy : Oui, nous allons l’adapter aux conséquences de la crise sanitaire. D’abord nous allons ajouter un module de sensibilisation à la prévention des risques sanitaires et renforcer le module d’assurance. Nous allons également revoir notre module digital pour proposer des modules d’hybridation des formats et de scénarisation d’événements digitaux. Nous ne toucherons néanmoins pas à nos trois pôles de compétences clés : la création/les contenus/la mise en scène – La commercialisation – la production. Un étudiant qui sort de LéCOLE doit être capable, quel que soit le contexte, de créer l’événement, de le commercialiser, de piloter sa production.  

Encore bravo.

Toute l’équipe AREP

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Chocolat, boissons fraiches, gel hydroalcoolique !

Chocolat, boissons fraiches, gel hydroalcoolique !

Comme nous l’avons établi, en collaboration avec LEVENEMENT et tous nos partenaires, toutes les mesures de sécurité sanitaires ont été normalisées et seront appliquées sur tous les événements, quels que soient le nombre de participants. Cependant les modes de distribution sont souvent peu esthétiques, très médicalisés. Voici ce que nous propose l’un de nos prestataires pour donner une autre image, rendre séduisant ce qui ne l’est pas vraiment. Une prestation qui ressemble à un nudge dans son fonctionnement.

Pour en savoir plus, contactez-nous.

#EventByAREP

Lieux événementiels et gestion de la reprise,  épisode 1

Lieux événementiels et gestion de la reprise, épisode 1

LES « GESTES BARRIERE » : 3 QUESTIONS A CARINE LE SAULX 

Comment les lieux d’événements abordent la sortie de la crise sanitaire et quelles sont les réponses qu’ils vont apporter en termes de protocoles de protection ? Cette question intéresse les agences de communication événementielle et de tourisme d’affaire mais elle intéresse également tous ceux qui pensent qu’aucun autre media ne peut les remplacer, qu’ils sont les plus efficients, (les plus efficaces), pour créer et entretenir la relation. 

A l’heure où LEVENEMENT et ses nombreux partenaires viennent de publier un référentiel sanitaire à destination des pouvoirs publics, nous avons posé quelques questions à Carine Le Saux, Directrice des Ventes du groupe Barrière, partenaire incontournable d’AREP et des agences d’événements et de voyages depuis de nombreuses années. Nous la remercions d’avoir trouvé quelques minutes pour y répondre. 

Comment envisagez-vous la reprise de l’activité pour le Groupe Barrière de manière concrète et pratique ?
Carine Le Saux :  La reprise de nos différentes activités est en cours. Après les golf, les tennis, nos établissements en zone verte ont ré-ouvert et notre activité individuelle a repris. Concrètement, une charte sanitaire est déployée pour la protection de nos clients et de nos collaborateurs (parcours clients revus, port du masque obligatoire, digitalisation du check-in, distanciation de 1 m dans nos restaurants, référent sanitaire).  

Sur la partie séminaire, nous attendions le dernier décret mais nous travaillons actuellement sur des mesures spécifiques. 

A propos de l’activité événementielle et tourisme d’affaire, faites-vous des projections dans un futur proche ? Avez-vous de véritables échéances de la part des pouvoirs publics ?
Carine Le Saux : Nous pensons très clairement que l’activité de tourisme d’affaires reprendra vraiment sur le second semestre et sans doute pas sur les mêmes formats. Dès la semaine prochaine, nous accueillons déjà des comités de direction qui ont besoin de se retrouver, d’échanger et de préparer leur rentrée.   

Je pense que les formats, pour rester prudent en cette fin de crise, seront plus courts que ce que nous avions l’habitude de voir. De notre côté avec les beaux jours qui arrivent, nous capitalisons beaucoup sur nos destinations balnéaires françaises comme La Baule, Cannes, Deauville, Dinard. 
Concernant les projections, cela nous semble très difficile d’établir des scénarios. D’ailleurs aujourd’hui, je pense qu’aucun de nos confrères ne peut établir de réelles projections.  On parle beaucoup de digitalisation, cette tendance n’est pas vraiment nouvelle en soi mais je pense que rien de remplacera l’humain.  

Une entreprise aura toujours besoin de créer du lien, de construire avec ses équipes, ses clients et cela peut passer par le digital certes mais le partage d’émotions, les échanges informels autour d’un verre ont du mal à passer au travers d’un écran d’ordinateur.   

Chacun d’entre nous, à titre individuel, a besoin de voir ses proches de  partager avec eux. Notre conviction est qu’en entreprise c’est la même chose et nous mettons tout en oeuvre pour que nos clients puissent revivre cela rapidement et en toute sécurité. 

Avez-vous élaboré des stratégies organisationnelles pour la reprise de l’activité événement ? De quelles manières envisager la problématique de la distanciation sociale ?
Carine Le Saux :  Nous construisons actuellement la partie protocole pour notre activité séminaire et convention : présentation des protocoles au début de chaque réunion, présence de gel hydro–alcoolique dans les salons, nettoyage spécifique, refonte de la restauration, refonte des capacités de nos espaces de réunions pour respecter la distanciation sociale…) 

Nous avons déjà revu le parcours clients sur l’ensemble de nos stations. Pour la gestion des flux, nous travaillons actuellement sur la refonte de la restauration en démultipliant les points de restauration et en réaménageant nos salons. 

Nous sommes désormais complètement à même d’accueillir les groupes séminaires et conventions. Et à dire vrai, nous avons plus que hâte de les revoir très bientôt. 

Toute l’équipe AREP

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Un traiteur face à la reprise : « Demain, nous serons tous des locavores»

Un traiteur face à la reprise : « Demain, nous serons tous des locavores»

Si la communication événementielle a pour fonction de mettre en scène des messages, elle produit également de l’émotion. Elle fait vivre à ses publics des expériences sensorielles destinées à marquer positivement les mémoires, à fabriquer des souvenirs communs pour le groupe.

La gastronomie a toujours eu une grande importance, dès la conception d’un événement, quel qu’il soit. C’est l’un des facteurs majeurs de réussite.

Maillons essentiels dans la chaine des valeurs des métiers de l’événementiel et du voyage, ils ont été, comme les agences, touchés par la crise sanitaire qui dure depuis quelques mois. Nous avons interrogé l’un de nos partenaire, Richard le Pladec, fondateur d’Entre-Mets, pour savoir de quelle manière il a géré la crise et comment il envisage la reprise.

Comment avez-vous vécu l’arrêt total de l’activité ?
Les petites structures comme Entre-Mets, dont la cible est les groupes de 10 à 300 personnes, sont plus souples, plus enclines à s’adapter aux situations compliquées et inédites. Nous sommes autonomes, nous avons peu de frais fixes. Nous attendons la reprise, ok, mais je ne suis pas pour autant resté inactif durant cette période. J’ai créé un site de vente en ligne, j’ai adapté et peaufiné l’offre d’Entre-Mets. Nous multiplions les canaux de distribution. Bref, il faut anticiper l’avenir, être toujours en mouvement…

Avez-vous senti des signes de reprises, Richard ?
Nous avons beaucoup de demandes en ce moment et nous faisons tout pour que cela aboutisse. En termes de sécurité sanitaire, nous suivons les recommandations des instances du métier. Mais c’est encore très hésitant. Le principal, c’est de redonner la confiance aux entreprises pour qu’elles autorisent les rassemblements de nouveau.

Les seuls qui font des événements en ce moment, c’est le bâtiment. Nous avons des clients dans ce secteur et nous avons plusieurs projets en cours qui vont représenter plusieurs centaines de couverts. Le Top 14 de rugby a repris également à Jean Boin et nous sommes ravis parce que c’est l’un de nos meilleurs clients.

Comment voyez-vous votre métier dans un avenir proche ?
Ma cuisine, si elle est résolument contemporaine, propose cependant un équilibre entre modernité et tradition. Elle est généreuse et gourmande, avec de très beaux produits du terroir. Même si le mouvement est engagé depuis longtemps, je privilégie avant tout les produits de proximité. « Mangeons à notre porte, soyons des locavores ». Et le mouvement va s’accélérer. Le Made in France doit avoir de beaux jours devant lui.

Choisir ses produits selon les saisons et en fonction de leur provenance a un impact sur l’empreinte carbone et, plus généralement, écologique. C’est un enjeu majeur et c’est pour cela que nous n’utilisons que de la vaisselle et de la verrerie. Et ceux qui me diront que cela pose un problème de surconsommation d’eau, je les arrête tout de suite : les lave-vaisselle d’aujourd’hui ont des cycles de 3 minutes et recyclent l’eau de lavage et de rinçage, en circuit fermé.

En revanche, il reste pas mal de boulot sur l’emballage, par exemple. Tout est sur-emballé ! Mais seuls, nous n’y pouvons rien. Même chose pour le tri sélectif. C’est enclenché, mais pas encore parfait. Oui, il y a du chemin encore à faire.

Une conclusion gastronomique pour nous donner envie ?
Un plat fou, pour les courageux, « l’Os à moelle, carpaccio de St Jacques et œufs de hareng » ou plus classique, un onglet de veau avec une sauce au camembert. J’apprécie particulièrement Les huîtres de pleine Mer de Mr Le Tallec où on retrouve toute la vivacité de Cancale. Je suis un brin chauvin de ma Bretagne natale, Paimpol.

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