Bonjour Victor, peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour je suis Victor Fau, l’un des deux développeurs web engagé chez AREP dans le cadre de ma formation en master “Expert en étude du SI ” à l’Hitema. Je travaille pour l’agence depuis bientôt deux ans.
Quel est ton poste chez AREP, en quoi consiste-t-il?
Je suis développeur web et mon travail consiste à mettre en place des sites web pour les projets d’évènements ou voyages organisés par mes collègues. Cela peut aller d’un simple site vitrine jusqu’à un système complet de prise de rendez-vous pour un salon professionnel par exemple. Par ailleurs, j’ai travaille sur une plateforme qui permettra aux utilisateurs de mettre en place et configurer un site pour un évènement sans connaissance technique particulière. Par un système de menu simple et intuitif les chefs de projets ou nos clients pourront définir les couleurs principales du site, configurer et enrichir les rubriques du site, paramétrer des formulaires de contact ou d’inscription. Via un backoffice spécialement développé, ils pourront également suivre les inscriptions à leur événement, exporter la liste des inscrits et relancer les retardataires.
Nous sommes plongés dans une crise sanitaire mondiale depuis un an… Comment vis-tu cela ?
Au début de la crise j’appréhendais le télétravail à temps plein mais rapidement j’ai été surpris de constater que j’arrivais bien à gérer cette situation. Semaine après semaine j’ai mis en application quelques astuces qui m’ont permis d’être plus productif. Je pense que le plus difficile à gérer, c’est l’absence de mes collègues avec qui j’avais tissé une bonne relation de travail. Même si les réunions en visio sont une bonne alternative, cela ne compense pas le vrai contact humain.
Quelles leçons, bénéfices en as-tu tiré ?
Au cours de cette période, j’ai appris bien plus vite le travail en autonomie mais surtout, je vais retenir l’importance des relations entre collègues. Je pense que le plus grand bénéfice que j’ai pu en tirer c’est la possibilité de pouvoir organiser mon temps de travail vraiment comme je le voulais pour pouvoir atteindre les objectifs qui me sont fixés.
Si tu devais nous raconter une anecdote, nous donner un conseil ?
Le meilleur conseil que je peux donner pour faire face à une situation de télétravail sur le long terme c’est de bien organiser la manière de travailler. L’objectif doit être de reconstituer un bon cadre de travail. Même s’il est tentant de travailler sur son canapé et de rester en pyjama jusqu’à tard le matin, je me suis aperçu que j’étais vraiment efficace en reproduisant au maximum un vrai environnement de bureau avec des routines bien définies. Cela passe par avoir les mêmes horaires ou presque.
Je me présente, je m’appelle Fanny… J’ai bientôt 30 ans (aie) et je suis une jeune maman. Ma passion dans la vie? L’humour… et aussi les bonnes tablées, les animaux et les voyages Niveau étude ? Après un BTS Communication, suivi d’un Bachelor Evénementiel, j’ai commencé mes premiers métiers chez un PCO (Organisateur Professionnel de Congrès). Durant 5 ans j’ai appris énormément de choses qui m’ont permis d’évoluer au sein de mon ancienne agence.
Quel est ton poste chez AREP, en quoi consiste-il?
Depuis bientôt 3 ans, je travaille en tant que chef de projets chez AREP. C’est un travail passionnant qui me permet de travailler avec l’ensemble des collaborateurs de l’agence. Mon travail consiste – avec le directeur de clientèle – à concevoir, produire et réaliser un évènement de A à Z. De la simple après-midi de Team Building jusqu’au voyage de récompense, en passant par la soirée de fin d’année ou la convention annuelle à l’étranger.
Nous sommes plongés dans une crise sanitaire mondiale depuis un an… Comment vis-tu cela ?
Étant fan de série sur les zombies j’y étais préparée… Blague à part je pense que cette période a été et reste très dure pour tout le monde… Le télétravail a beaucoup de points positifs, malheureusement les réunions sur Teams ne peuvent remplacer le plaisir d’être ensemble. Rien ne vaut la pause de 11h sur la terrasse avec ses collègues (oui nous avons une terrasse) Mes collègues me manquent, d’autant plus que nous avions pris l’habitude de nous voir avec certains d’entre eux en dehors du cadre professionnel 😉
Quelles leçons, bénéfices en as-tu tiré ?
J’ai eu la chance d’apprendre une heureuse nouvelle en début d’année 2020 ! Depuis mi-août, je suis l’heureuse maman d’un petit garçon. Cette crise sanitaire m’a permis d’en profiter au maximum… J’en ai également profité pour parfaire ma formation en suivant des modules « Organisation de mariage » et « décoration évènementielle »… Je vais passer mes diplômes prochainement …🤞
Si tu devais nous raconter une anecdote, nous donner un conseil?
J’ai eu la chance incroyable de pouvoir organiser en décembre 2019, une soirée de noël de 1 000 personnes pour l’un de nos clients en … 3 semaines ! Un challenge comme on les aime ! Je crois que cette anecdote fera partie d’un prochain article… Keep in touch
Bonjour Christelle, peux tu te présenter en quelques mots ?
Je suis en quelque sorte un bébé « made in AREP », née la même année, et devenue aujourd’hui directrice de projets engagée auprès de mes clients.
J’aime parcourir la palette infinie de rencontres et de challenges que ce métier passionnant peut offrir.
J’aime surtout voir les étoiles dans les yeux de mes clients, lorsqu’ils vivent des moments exceptionnels pendant un voyage ou un événement que je leur ai concocté spécialement pour eux.
Depuis des mois, la filière événementielle et tourisme d’affaires est particulièrement touchée par la crise sanitaire. Qu’est-ce qui te manque le plus dans ton quotidien professionnel ?
Aujourd’hui, j’ai le sentiment que tout est en « stand by ». Le manque de visibilité paralyse tout le secteur événementiel : les entreprises ne veulent plus s’engager.. et je le comprends bien. On sent déjà quelques frémissements depuis le début de la campagne de vaccination mais c’est encore très timide.
Nous qui courions sans cesse après le temps, embarqués dans une nouvelle aventure…un nouveau projet. Nous sommes cette fois dans l’attente …une situation à peine croyable.
Pour faire ce métier, il faut aimer les gens, vouloir les rendre heureux le temps d’un voyage ou d’une rencontre professionnelle … aujourd’hui ils me manquent tellement !!!
Je reste persuadée que les retrouvailles seront incroyables et intenses et je ne vais surement pas manquer ça !!!
Beaucoup d’entreprises ont accéléré leur transformation digitale, et je crois que tu as eu l’occasion de travailler sur une convention « Live » pour un client de l’agence. Peux tu nous en parler un peu ?
C’était une belle expérience, une première étape pour beaucoup d’entreprises.. il faut absolument maintenir du lien aussi digital soit -il …Ces outils digitaux peuvent nous y aider, alors Arep est dans la course !
Nous devons aider nos clients à répondre à leur besoin essentiel de partager et de communiquer avec leurs collaborateurs.
Fabrice Sudaka Directeur Général Adjoint en charge du Pôle digital et nos partenaires ont déployé leur expertise pour offrir un live très dynamique de 4h à plus de 200 collaborateurs.
Les retours sont très positifs … Nous avons réussi à les surprendre, à les faire rire, les émouvoir le temps de ce rendez-vous digital : c’est essentiel pour le bien être des collaborateurs !
Forte de cette expérience, quel conseil donnerais tu à tes collègues de bureau ou à tes clients en matière d’événement digital?
Il ne faut pas craindre d’utiliser tous ces nouveaux outils car ils apportent une belle modernité aux événements traditionnels : réunion, séminaire annuel etc.. . En collaboration avec le coach dédié et le graphiste, notre client a reconsidéré les messages, la forme de sa présentation ppt, le style de sa prise de parole. Le CODIR a partagé une aventure inédite / un moment fort où chacun a donné le meilleur : une belle aventure à proposer à tous les clients en attendant que tout le monde se retrouve !
Quand nous pourrons nous retrouver physiquement pour une convention annuelle, nous pourrons, proposer un rendez-vous digital à mi-parcours par exemple pour garder le lien toute l’année.
Quel est votre parcours professionnel et comment avez-vous découvert votre passion pour votre métier ?
Mon papa était routier et étant petite, quand il y a une portière de voiture ouverte j’étais toujours dedans. J’ai toujours aimé bouger et voyager. C’est pour cela que j’ai fait un BTS de Tourisme. J’exerce mon métier de billettiste depuis 1997 mais ce n’est quand 2018 que j’ai rejoint AREP Exigences.
Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel ?
La mer, les mojitos… En vrai, voyager me manque le plus.
Comment percevez-vous la billetterie de demain ?
Ce n’est pas un monde qui change beaucoup. Internet a remplacé les billettistes. Mais, avec la crise, les gens se sont rendu compte que c’est plus facile et plus efficace de demander de l’aide à une personne au lieu d’une machine. Donc je pense que le monde de la billetterie de demain va re-privilégié le côté humain.
Voilà donc la recette du succès dans le monde de la billetterie selon Stéphanie :
Cette recette a en même temps un goût âpre (beaucoup de travail) et un goût sucré (mojito à l’autre bout du monde) Alors, pour cela il vous faut :
3 morceaux de curiosité, d’aller chercher les informations
500g de rigueur une erreur en billetterie se chiffre en milliers d’euros et pas une centaine
Quel est votre parcours professionnel et comment avez-vous découvert votre passion pour votre métier ?
Lyonnaise d’origine, et je suis venue à Paris pour faire mes études. N’étant pas très assidue en cours…, j’ai choisi un parcours qui me permettait de partager mon temps entre le « cours magistral » et le terrain. J’ai intégré le service communication d’un laboratoire pharmaceutique, ma première expérience dans l’événementiel… une révélation !
Après être passée chez l’annonceur, j’ai souhaité devenir prestataire de services. Rencontrer différents clients, découvrir différentes stratégies, exigences, secteurs d’activité. Apprendre. Et j’ai intégré une agence de tourisme d’affaires en 2002. J’ai monté les différentes marches du « logisticien », pour ensuite me diriger vers la partie commerciale… mais sans jamais être loin de la partie organisationnelle qui me plait tant.
Je suis arrivée chez AREP en 2009, et 11 ans plus tard, j’y suis toujours.
Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel ?
La liste est longue !… D’abord le rythme. Nous vivons à 100 à l’heure en faisant ce métier, sommes sollicités de façon permanente… habitués à nous dépasser. J’ai un peu de mal à m’adapter à un rythme, disons… plus calme. Et puis l’adrénaline. La stimulation, la création, le dépassement de soi pour le bonheur des autres. Et aussi mes collègues, notre équipe, nos fous rires, nos coups de gueules. Pas évident de faire un métier basé sur l’humain et de perdre ce contact physique… Mais je sais que nous allons nous retrouver très vite.
Comment percevez-vous l’évolution de votre métier ?
Après ces quelques mois, je pense que nous allons encore plus nous rendre compte de la vibration particulière engendrée par le présentiel, l’échange, le partage et la spontanéité de la réaction… Néanmoins, force est de constater que l’événementiel s’adaptera…. Et se réinventera toujours. Donc nous nous adaptons et nous réinventons !
Voilà donc la recette du succès dans le monde de la direction de clientèle selon Virginie :
Foncer le moule de merveilleux clients 8 lichettes d’écoute 68g de plaisir à travailler main dans la main 1 botte de réactivité et de rigueur Saupoudrer le tout de quelques brins de folie et de sourires… indispensable !
Quel est votre parcours professionnel et comment avez-vous découvert votre passion pour votre métier ?
Je n’ai que 12 ans lorsque mes parents installent pour la première fois internet chez nous : 30 heures par mois et pas une heure de plus. Mais cela suffit à éveiller ma créativité, et très vite me voilà lancé à créer mes premiers sites internet en autodidacte.
Une passion qui est devenue mon métier en 2009, après avoir validé mes acquis et en me perfectionnant avec un contrat de professionnalisation chez AREP, que je n’ai donc jamais quitté. 11 ans plus tard, je suis toujours là et j’ai pu voir évoluer le service Digital dans lequel je travaille.
Aujourd’hui nous sommes plusieurs à répondre aux différents besoins qui concernent le Digital : PAO, chartes graphiques, sites internet, webapp… Pour ma part, je m’occupe de la gestion et du développement des sites internet pour nos clients, mais également d’autres tâches comme la création et envoi d’emailings, la réalisation de logos, de montage vidéo ou même de la PAO.
J’ai fait de ma passion mon travail, un métier en constante évolution sur les aspects techniques et graphiques, bref nous n’avons pas le temps de nous ennuyer !
Qu’est-ce qui vous manque le plus dans votre quotidien professionnel ?
Avec la crise du COVID-19 et l’impact sur nos métiers que sont le tourisme ou l’événementiel, notre quotidien a été chamboulé : nous n’allons plus dans nos locaux à Boulogne, mais nous restons chez nous en télétravail. Le relationnel avec mes collègues est ce qu’il me manque le plus dans cette période, mais fort heureusement nous nous adaptons avec la visioconférence. Mais l’échange que l’on peut avoir en temps normal dans notre bureau n’est pas le même.
Comment percevez-vous le digital de demain ?
Outre l’évolution des tendances actuel pour la PAO et la vidéo, je pense que l’évolution du web se fera au niveau des applications et des différents langages web.
Voilà donc la recette du succès dans le monde du digital selon Adrien :
300g d’amour pour ce métier
8 cuillères à café de flexibilité aux changements et nouvelles technologies
1 poignée de curiosité pour les tendances actuelles et à venir
3 cuillères à soupe de mise à jour de ses acquis
Enfin mélanger le tout et surtout ne pas avoir peur du codage !
Depuis des mois, la filière événementielle et tourisme d’affaires est particulièrement touchée par la crise sanitaire. Qu’est-ce qui te manque le plus dans ton quotidien professionnel ?
Beaucoup d’entreprises ont accéléré leur transformation digitale, et je crois que tu as eu l’occasion de travailler sur une convention « Live » pour un client de l’agence. Peux tu nous en parler un peu ?
Forte de cette expérience, quel conseil donnerais tu à tes collègues de bureau ou à tes clients en matière d’événement digital?
